J’ai procédé à l’achat d’un certificat vert, qui me permet de garantir l’origine de l’énergie « injectée » dans le réseau électrique.
Elle provient d’une source de production d’énergie renouvelable, et dans le cas de OUAW.net, d’une centrale hydro-électrique, localisée à Annecy.
La quantité (en kWh) est déterminée sur la base de la consommation électrique induite par mon activité de vente de eCards professionnelles, et en particulier par le site Internet et l’outil de gestion.
Cette compensation me permet ainsi de faire de OUAW.net un site Internet électriquement vert.
Certificat WATTIMPACT
l’eCard produit du CO2
Ou plus exactement, toute la consommation d’électricité qu’impliquent la création, la vente, la diffusion et la lecture d’une carte virtuelle, produit une importante quantité de gaz à effet de serre (GES) et a un impact environnemental conséquent.
Faire une recherche sur Google, parcourir un site, acheter en ligne, envoyer un email, le recevoir et le lire, sont autant d’opérations qui induisent une grande quantité d’électricité, dont la production affecte l’environnement.
Plus généralement, les dernières estimations de l’ACERP (Autorité de Régulation des Communicaitons Electroniques) indiquent que les Technologies de l’Information et de la Communication étaient, en 2008, à l’origine de 2% des GES dans le monde, avoisinaient 4% en 2020, et pourraient passer à 6% en 2040 si rien n’est fait…
Ainsi contrairement à ce que certains éditeurs et diffuseurs de cartes de vœux virtuelles vous disent, par ignorance ou à des fins purement commerciales, une carte électronique n’est pas écologique !
Un site vert = des cartes écolos ?
Non, certainement pas.
Il est très difficile de répertorier toutes les énergies impliquées par une activité.
Et au-delà des postes directement concernés, aisément identifiables, ils existent un grand nombre d’énergies grises, nécessaires au cycle de vie d’un produit, d’un matériau, et pas toujours faciles à identifier et quantifier.
Conscient que nous ne pouvons plus vivre à crédit sur le dos de la planète, c’est donc un effort quotidien qui m’anime, avec la recherche permanente de nouvelles solutions pour minimiser mon impact professionnel et personnel sur l’environnement.
C’est pourquoi je participe très activement à un programme de reforestation, à travers lequel j’ai déjà planté 2355 arbres à Madagascar et au Niger.
Découvrez comment je compense ma consommation de CO2et la votre quand vous commandez et envoyez vos cartes virtuelles :